sls0 sls0 19 janvier 2021 11:07

Le rapport Meadows sorti dans les années 70 était une extrapolation des ressources pour les années à venir. Tout les 10 ans on contrôlait les projections qui dans l’ensemble tenaient la route.

Ce rapport indiquait que l’on allait passer les pics des différentes ressources à partir de années 2000 et qu’à partir des années 2030-40 on allait commencer à se serrer la ceinture.

Le capitalisme ne peut exister qu’avec de la croissance, une évolution positive des ressources.

Le capitalisme c’est des gens qui ont une épargne qui prêtent à ceux qui ont besoin d’argent pour construire un outil de production.

L’argent part dans la bulle des marchés financiers et non dans l’outil de production et des taux négatifs ont tué l’épargnant traditionnel.

Le capitalisme meurt, les taux négatifs sont un bon marqueur 

L’économie circulaire : moins de ressources à transformer, on recycle sinon on se retrouve avec des ressources style années 30-40 avec une population qui a triplé depuis, ça risque de coincer. Déjà que le pétrole intervient à hauteur de 40% dans ce qu’on bouffe ça risque de coincer et faire mal sans transport, fini le yaourt qui fait 2300km pour une histoire de réduction de coût.

Si la sagesse aurait conduit le monde l’économie circulaire on en aurait dû parler déjà début des années 90, c’est le néolibéralisme qui était au top de sa forme, pas de bol.

Un peu de science fiction ou une vision extrême de l’après 2040-50 : des villes style mégapôle à très haut rendement. On travaille, on est surveillé, on est nourri, on a sa dose de rêve par une entité qui dirige. L’IA fait et dirige le principale. Au niveau rendement énergétique on fait pas mieux que l’IA.

La campagne telle certains quartiers de Detroit est laissé à l’abandon, plus aucun service public ou privé qui serait trop énergivore.

Une autarcie à la campagne mais pas comme maintenant, on achète plus le pull, on le fait, on achète plus la bèche, on la fait.

Fini la main magique d’Adam Smitt, on fait tout de A à Z.

Le rapport Meadows, un inventaire et une règle de trois. Trop simple pour les économistes. Les ressources n’ont jamais été un paramètre pour les économiste. Effectivement le prix du pétrole c’est le cout d’extraction, de raffinage et de transport, on ne paie pas la terre pour la matière énergétique. Pourtant c’est bien la terre qui détient, le pétrole ne nait pas du néant.


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