Tchakpoum 14 janvier 2021 12:00

@sls0

Le Lancet a fait son boulot de revue sérieuse.
Elle a fait paraitre après une appréciation par les pairs sous réserve d’accès aux données. Pas de données reçues, l’article a été retiré au bout d’une semaine.
Une semaine pendant laquelle la communauté scienfifique a pu faire ses remarques.

Une relecture par les pairs se fait à évidemment AVANT publication qui vaut validation par le journal scientifique et non pas APRES. Vous le savez très bien puisque vous parlez de preprint qui est une publication au nom des auteurs de l’étude, pas du journal scientifique.

https://en.wikipedia.org/wiki/Preprint#/media/File:Preprint_postprint_published.svg

Inutile de continuer à étaler sur le grotesque que tout le monde connaît de cette publication du Lancet de cette étude sur l’HCQ. Mais sls0, lui est présent pour justifier l’injustifiable. Le papa de sls0 a été résistant contre les nazis (dans ses fantasmes qui dégorge sur Avox) mais le fiston est le premier zélateur pour construire les pires mensonges

.

Richard Horton, le rédacteur en chef himself du Lancet dit qu’un nombre élevé de publications scientifiques sont fausses.

"Une grande partie de ce qui est publié est incorrect". Je n’ai pas le droit de dire qui a fait cette remarque car on nous a demandé de respecter les règles de Chatham House.

(…) ce symposium sur la reproductibilité et la fiabilité de la recherche biomédicale, qui s’est tenu au Wellcome Trust à Londres la semaine dernière, a abordé l’une des questions les plus sensibles de la science actuelle : l’idée que quelque chose a fondamentalement mal tourné avec l’une de nos plus grandes créations humaines Les arguments contre la science sont simples : une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, est peut-être tout simplement fausse. (…)

Les arguments contre la science sont simples  : une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, est peut-être tout simplement fausse.  Affligée par des études portant sur des échantillons de petite taille, des effets minuscules, des analyses exploratoires non valables et des conflits d’intérêts flottants, ainsi que par une obsession à poursuivre des tendances à la mode d’importance douteuse, la science a pris un virage vers l’obscurité. (…)

L’endémicité apparente des mauvais comportements en matière de recherche est alarmante. Dans leur quête d’une histoire convaincante, les scientifiques sculptent trop souvent des données pour mettre au point leur théorie du monde préférée. Ou bien, ils révisent leurs hypothèses pour vérifier leurs données. Les rédacteurs en chef des revues scientifiques méritent eux aussi leur part de critiques. Nous aidons et encourageons les pires comportements.

https://zerhubarbeblog.net/wp-content/uploads/2015/06/piis0140673615606961.pdf

Vous voulez avoir raison contre l’autorité de Richard Horton, qui représente le journal à la plus haute notoriété scientifique du monde ?

 .

« Mon bon ", "Ma puce"... vous faites penser à un vieux tonton avec du caca au cul et encore plein les mains, qui tente de vous prendre dans les bras. Il doit y avoir un grand vide autour de vous.


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