Tchakpoum 14 novembre 2020 11:27

S’il avait fallu présenter des oeuvres pour mieux en détruire leurs intérêts, ce documentaire en est cas d’école. L’écart entre le niveau d’analyse des intervenants (surtout le Meilleurs des mondes)

et les exemples d’applications est désespérant.

Tant que cette chaîne tévé accepte de reconduire pour président du conseil de surveillance depuis sa création, en 1986, le pire meurtrier du pays et premier zélateur du slogan "la guerre, c’est la paix", les documentaires ayant relation à ce sujet seront toujours vérolés. 

Mais ça marche, puisque ces deux ouvrages font partie de mes lectures fondamentales et que j’aurai bien des commentaires à partager et ce documentaire m’en a coupé l’envie.


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