Comme stipulé par l’excellent prof. Raoult "notre corps est un écosystème autonome très complexe", n’oublions pas qu’un docteur en microbiologie brillant comme lui va forcément parler de ce qu’il connaît en pratiquant de voix d’Hippocrate, un diagnostic précis par une autopsie, protocolaire, chirurgicale et dans son cas, microscopique.

Or, un écosystème doit être vu en prenant tous ses composants en compte car d’autres facteurs déterminants s’invitent à la partie, Raoult sait qu’il existe des facteurs invisibles au microscope et matériellement indécelables, mais s’il part sur cette voie, là on est vraiment mal !

Les énergies électromagnétiques par exemple, ou les milliards d’interactions à la seconde que produit le métabolisme humain, une conjugaison ultra-précise homogénéisant l’ensemble et faisant face en même temps aux multiples agressions externes. Un écosystème n’est pas un cocktail passif, il provoque aussi son propre climat, ses propres vents ! il ajuste sa météo interne en fonction du maintien de son efficacité et de son rendement.

Bref, pardon de m’être écarté du sujet. Le "on" laisse donc mourir les vieux dans des chambres à g ... EPAHD (j’ai failli déraper !) tout en asphyxiant les autres par le masque, c’est la saison contradictoire et imposée du gel et du coton-tige mais, "on" oublie qu’un être n’est pas fait de matière inerte, la vie c’est de l’énergie pure, donc encore une fois bref ! je suis une poussière éternelle issue d’une étoile et j’emmerde les cotons-tiges. Ma propre mort m’appartient et suis le seul en ce qui me concerne à mettre un visage connu sur la tronche de ma copine la grande faucheuse.