Guit’z 27 juillet 2020 17:19

@albert123
Bien de votre avis. Comment dire... j’écoute cette jeune femme assez sympathique, et je suis saisi par un sentiment de vacuité, d’inconscience totale ; ce dont me paraît témoigner son allégeance à peu près spontanée à tous les faux concepts, les mots-clés creux, les gimmicks que charrie l’époque, par fournées sidérantes, et dont son langage est émaillé.
Je suis allé consulter sa page LinkedIn... en anglais bien sûr, pour faire "in". Ce qui est dingue, c’est que la fille parle cinq langues, est surdiplômée... pourtant, pas un atome d’intelligence n’émane de son discours. C’est vraiment une caricature de cette figure apocalyptique : le "bon pro".
"L’entreprise est violente", observe-t-elle : mais à aucun moment l’idée du combat politique ne lui traverse l’esprit (elle parle à un moment de "réflexion collective" pour élaborer des "garde-fous"... mais c’est du vent !).
En fait, ce témoignage est insupportable : elle ne nous parle que de sa petite pomme et son effort d’universalité n’excède pas la cause, non des femmes, mais de l’arrivisme social de quelques unes.
Bref, nul !


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