lacsap151 8 juillet 2020 05:00

@Gollum

Les statistiques interdisent de penser qu’un univers régit par des variables aussi différentes que la vitesse de la lumière ou l’évolution des espèces au moyen de la sélection naturelle se reproduise de façon pérenne par distribution aléatoire. Quand un " événement " : < le monde est régit par une distribution aléatoire sans contrôle intelligent > a une probabilité nulle, son " événement contraire " : < il y a une cause intelligente ( quelle qu’ elle soit) à l’origine du monde et à sa perpétuation immuable > à une probabilité de pratiquement 100%. Mais ce ne sont que des mathématiques bien sûr... reste à trouver des outils plus performants
Il y a bien longtemps que les " religions monothéistes " ont révélé leurs limites, ne serait-ce que dans le flou énorme et les contradictions autours de l’autorité et de l’origine des " textes sacrés ". Mais les vraies " maudites questions éternelles " ( Dostoïevski) demeurent. " Pourquoi il y a t-il quelque chose plutôt que rien ?". La fameuse " objection ontologique " de Leibniz."

 Il semble avérer que de considérer une éthique fondamentale qui respecte ce qui vit (avec ou sans créateur) ne peut être que positive, aussi bien pour tous que pour soi, ainsi que pour les petites bêtes " . Oui, à condition que cela soit conforme aux lois immuables de l’univers.

Je ne pense pas que l’homme puisse se résoudre à renoncer à comprendre ( dans un livre publié il y a environ 20 ans, 3 neurologue américains essayaient de démontrer, de façon plutôt convaincante, que l’homme est constitué de telle sorte qu’il doit trouver des réponses aux questions qu’il se pose, sauf à devenir dingue, c’est pratiquement consubstantiel.( " Pourquoi "Dieu" ne disparaîtra pas ", quand la science explique la religion. ed Sully. Peut-être que nous ne prenons pas la bonne méthode. Descartes recommandait pour avancer dans la connaissance de tout soumettre au doute et de considérer qu’il fallait au préalable s’affranchir de ce que nous avions appris. De plus, peut-on considérer qu’il y ait des hommes plus avancés que d’autres dans ce domaine et dont on pourrait s’inspirer.
Pour ma part, en ce moment, je suis de très près les travaux du docteur Jean-Jacques Charbonnier qui explore, avec tous le sérieux d’un grand scientifique, ce que nous apprend l’exploration de la conscience quelque soit les surprises que cela nous réserve, voire les bouleversement de paradigme.
Spinoza disait : « J’entends par Dieu un être absolument infini, c’est-à-dire une substance constituée par une infinité d’attributs dont chacun exprime une essence éternelle et infinie. » 


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