Pyrathome Pyrathome 27 mai 2020 01:47

Lancet, c’est pas une étude, c’est une farce  !

ça va chauffer pour certains.......

http://www.francesoir.fr/societe-sante/la-science-de-la-pandemie-science-collaborative-acte-2

.......

ME : Nous avons tout analysé, à 300 cela a été assez rapide, on s’est partagé le travail

Mais tout semblait questionnable, la méthodologie, l’échantillonnage, les méthodes statistiques utilisées. Par exemple :

  • la quantité d’hydroxychloroquine donnée, comment peut-on donner de telle quantité (1.2g)
  • la sélection n’a pas été aléatoire
  • des patients ont reçu de l’hydroxychloroquine alors qu’ils n’auraient jamais dû en recevoir de par leurs conditions cardiaques. C’est à minima une erreur médicale de donner un tel médicament à des patients souffrant d’une condition cardiaque.
  • on a voulu nous faire croire que c’était des patients qui venaient juste d’être diagnostiqués alors qu’ils ont reçus le traitement 2 jours après être allés à l’hôpital ; Cela faisait sûrement donc pas loin de 10 jours qu’ils avaient le Covid.

La science médicale commande que l’on prenne tous ces facteurs en considération

Ceci n’est pas de la science, c’est une instrumentalisation de la science

Nous étions tous choqués car c’est cela qui détruit la réputation de la science.

FS : Mais à quelle fin ?

ME : En France, vous avez pu identifier les opposants à l’hydroxychloroquine comme étant des membres du gouvernement ou en grande partie dans les élites, et le peuple qui est pour.

Au Brésil, c’est vraiment différent, il y a une corrélation directe entre les opposants à l’hydroxychloroquine et les opposants au pouvoir en place. 

De plus, outre la partie politique, nous avons pu relier cette étude à de gros labos pharmaceutiques.  J’ai juste entendu un des membres du groupe parler de liens entre une société qui fabrique les « ventilateurs » et qui aurait contribué à cette étude.

Il y a trop de biais induits par ces gens

FS : et sur les traitements ?

ME : Nous n’avons pas compris cette volonté de ne pas tester la bithérapie contre les autres traitements. 

Ce n’est pas de la médecine ni de la science.

 

De plus le professeur Regis Andriolo, PhD (professeur d’université et chercheur dont la spécialité est la médecine fondée sur les preuves au Brésil), nous confirme que l’étude publiée dans The Lancet est extrêmement pauvre. Dans ce document, nous avons des variations énormes d’échantillonages entre les patients traités (à l’hydroxychloroquine ou chloroquine), par rapport au groupe de contrôle :

+ 13% de patients coronariens 
+ 18% d’insuffisance cardiaque
+ 10% plus de diabétiques
+ 16% plus hypertension
+ 10% de MPOC en plus
+ 12% plus de fumeurs
+ 14% plus de personnes avec PaO2 <94%
Avec en plus la question du surdosage de chloroquine, avec une moyenne quotidienne de 765 mg et des variations substantielles de co-intervention entre les groupes.

Il n’existe pas de méthode statistique pour corriger ces distorsions de scénario.

Si tel était le cas, nous n’aurions plus besoin des études randomisées, elles auraient même été abolies.

Il est bien connu que les tentatives d’approximation des études d’observation aux études randomisées, en utilisant des moyens statistiques artificiels, tels que les scores de propension, sont de véritables pièges.

Il y a une grande irresponsabilité des personnes impliquées.

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