"En aucun cas, le Bureau national de l’UPR n’a le pouvoir de démettre le président du mouvement de ses fonctions.
– Les cadres qui ont gravement mis en cause François Asselineau ont
violé la loi et les statuts du mouvement à un grand nombre de reprises
dans leur manœuvre"
*
Bigre ! L’autocrate a serré les boulons de son trône