Nos chères élites (celles qui lorgnent vers le transhumanisme et la mise sous brevet de tout ce qui abrite le moindre petit bout de code génétique) ont, paraît-il, un agenda rendant incompatible la présence humaine dans les rares espaces naturels n’ayant pas été encore ravagés...
Elles préserveraient quelques petits coins de verdure strictement interdits aux non initiés... Et le reste pourrait partir en fumée dans de gigantesques feux de joie (dernièrement : Australie, Amazonie, Amérique du Nord...).
Ainsi, tout sera prétexte à nous couper de la nature. Il y a une nouvelle pandémie ? La culpabilité tombera tout de suite (je me demande si le coupable n’a pas été désigné avant que l’on connaisse la nature du virus...) sur un animal sauvage (pangolin, chauve-souris...). L’accès aux forêts sera bien sûr interdit par les autorités, confinement pandémique oblige ("Un arrêté de la préfecture de la Nièvre défend depuis samedi 21 mars l’accès du public aux forêts domaniales.")... etc.
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