Le professeur et virologue Marc Van Ranst de l’Université de
Louvain (Belgique) s’associe aux positions prises par le Pr Didier
Raoult.
L’université de Louvain en Belgique estime que la chloroquine
pourrait devenir l’une des réponses. Les propriétés de ce médicament,
lancé en 1934 contre la malaria, sont bien connues et son coût reste
très raisonnable. Cette molécule était déjà évoquée lors de l’épidémie
de SRAS en 2004.
Un traitement contre la malaria pourrait permettre de lutter contre le coronavirus
(2’20) https://www.youtube.com/watch?v=cn2ku5bTcp4