Piloun Piloun 13 février 2020 09:17

@Saladin
T’emballe pas,
Saud al-Sarhan, directeur de recherche au centre de recherche et d’études islamiques du roi Fayçal de Riyadh (Arabie saoudite), explique au New York Times que le manuscrit comprenait des points et des séparations de chapitres, éléments d’écriture qui n’étaient pas utilisés à l’époque. Il ajoute que les parchemins étaient parfois lavés et réutilisés, la datation de la peau n’étant pas une preuve irréfutable d’ancienneté des écrits.


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