@Saladin
T’emballe pas,
Saud al-Sarhan, directeur de recherche au centre de recherche et d’études islamiques du roi Fayçal de Riyadh (Arabie saoudite), explique au New York Times
que le manuscrit comprenait des points et des séparations de chapitres,
éléments d’écriture qui n’étaient pas utilisés à l’époque. Il ajoute
que les parchemins étaient parfois lavés et réutilisés, la datation de
la peau n’étant pas une preuve irréfutable d’ancienneté des écrits.