Attiré par le jeu de mot intéressant du titre, je lis cette énumération très inquiétante, et je me demande où on allait arriver.
Pas à des solutions, je sais, il ne faut pas rêver : on est ici pour commenter des commentaires. Mais quand même.
Mais tout s’est éclairé d’un seul coup : tout ça, c’est de la faute de Manuel Valls.
Amen, comme qui dirait