REMY Ronald REMY Ronald 20 novembre 2019 02:06

Il y a une catégorie de journalistes qui s’intéressent aux deux camps d’un conflit, pour savoir ce que pensent les deux camps et mieux comprendre les racines d’un conflit. Je prends note de ce que vous venez d’écrire après une très longue conversation entre nous, à savoir que seul un camp vous intéresse autistiquement.

Je note aussi une autre terrible phrase que vous écrivez et que n’importe quel historien compétent classera parmi les chef-d’oeuvres de la propagande anti ukrainienne :

"Arrêtez avec vos histoire d’horreurs commises par l’URSS. Sans l’URSS l’Ukraine n’existerait pas et la langue ukrainienne serait restée un simple patois de paysans de l’Ouest du pays .../... C’est l’URSS qui a ukrainisé de force l’Ukraine tout juste créée de toutes pièces".

J’espère (avec néanmoins grande inquiétude) que la majorité des russes d’Ukraine et de Russie n’ont pas la même strabisme culturel historique que le vôtre...

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Celui que vous cataloguez avec mépris de "troll-pion jésuite" a visiblement échoué à vous convaincre de l’intérêt d’un processus institutionnel pacifique. J’abdique. Je termine donc notre entretien ici en vous rappelant encore une fois que Vladimir Poutine ainsi que de nombreux russes et de nombreux ukrainiens préfèrent également une solution institutionnelle pacifique. Peut-être arriveront-ils à vous écarter, mieux que je n’ai su le faire, de votre phénoménal fanatisme anti-ukrainien (fanatisme qui ne peut rien apporter de positif pour l’ensemble de nos descendants...).

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