« Il y a plusieurs années je travaillais dans un élevage industriel de
porcs appartenant à la tribu des Indiens Cœur d’Alène dans le nord de
l’Idaho. L’endroit puait les truies gestantes mortes et pourrissantes
que nous découpions pour les sortir des cases de mise bas — élevées à
mort dans la course à la production de porc. Et ça puait les énormes
bassins qui retenaient des millions de litres de lisier et des porcelets
en décomposition, et chaque mètre carré était empoisonné par les
pesticides utilisés pour tuer les insectes que les porcs attirent et par
les antibiotiques administrés aux porcs par sacs de quarante cinq
kilos. Les Indiens Cœur d’Alène refusaient d’endurer ce genre de
conditions ; ils ne voulaient même pas gérer l’endroit. Ils le
sous-traitaient. Comme disait mon ami Walter Wildshoe : Il n’y a qu’un
homme blanc pour travailler là. » (La vengeance des corniauds Du pain pour la méchanceté par Joe bageant)
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