Hijack ... Hijack ... 20 octobre 2019 01:36

« ... Il ne convient pas aux femmes, même mariées, de laisser voir leurs cheveux, car l’Apôtre leur ordonne de se voiler la tête.  » Dans ce cas cependant, certaines pourraient ne pas commettre de péché, si elles ne le font pas par vanité, mais à cause d’une coutume contraire, bien que cette coutume ne soit pas à recommander. » Saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, question 169, article 2

.

« Nous devons nous demander pourquoi l’homme ne devrait pas se voiler la tête, mais bien la femme. Cela peut être compris de deux manières : premièrement, parce qu’un voile posé sur la tête désigne le pouvoir d’un autre sur la tête d’une personne existant dans l’ordre de la nature. Par conséquent, l’homme existant sous Dieu ne devrait pas avoir une couverture sur sa tête pour montrer qu’il est immédiatement soumis à Dieu ; mais la femme devrait porter une couverture pour montrer que, outre Dieu, elle est naturellement soumise à un autre. On met donc un terme à l’objection concernant le serviteur et le sujet, car cette sujétion n’est pas naturelle. Deuxièmement, montrer que la gloire de Dieu ne doit pas être cachée mais révélée ; tandis que la gloire de l’homme doit être cachée. C’est pourquoi il est dit dans Ps 115 (v. 1) : ‘Non pas à nous, Seigneur, non pas à nous, mais à votre nom, donnez la gloire. » Saint Thomas d’Aquin, Commentaire sur la première Épître aux Corinthiens, 11-2
.
« Il ne convient pas pourtant que les femmes, même celles qui sont mariées, laissent voir leurs cheveux : l’Apôtre veut qu’elles soient voilées. Pour ce qui est de l’emploi du fard afin de se donner plus d’éclat ou de blancheur, c’est une misérable falsification : je suis bien sûr que les maris eux-mêmes ne voudraient pas être ainsi trompés ; or, c’est seulement pour leurs maris qu’il est permis aux femmes de se parer : c’est une simple tolérance et non point un ordre. Car la vraie parure, surtout des chrétiens et des chrétiennes, ce n’est point le charme menteur du fard, ni l’éclat de l’or, ni la richesse des étoffes, ce sont les bonnes mœurs. » Saint Augustin, Lettre CCXLV.

.

Hum ! Demandons à Finkie, sur ce sujet et, cette fois pour les chrétiennes, de dire ses bonnes paroles.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe