sls0 sls0 8 octobre 2019 18:12

En cas d’incendie important on surveille les dioxines, plastiques et fils électriques ça produit pas mal de dioxines.

Votre lien pour les dioxines et le chlorure ferrique est un peu léger quand on voit les conditions, 2% max de O2, 325°, du noir de charbon, ect... Pas sûr qu’il y ait eu production de dioxines dues au chlorure ferrique.

Dans son état normal le chlorure ferrique est irritant, quand on le chauffe il se dissocie en deux produits qui vont se transformer en acide en dessous de 120° avec l’humidité de l’air ou la pluie.

Par contre le chlorure ferrique ne brule pas ce qui rend cet incendie bizarre. Au contact de métaux il y a dégagement d’hydrogène qui lui va bruler voir exploser.

J’espère que le clhorure ferrique n’était pas sous forme de poudre sinon avec l’eau des pompiers réaction fortement exothermique assurée et projections d’acide chloridrique.

Il y a 3-4 jours j’avais parlé des 3 tonnes de poissons morts pensant au chlorure ferrique qui peut les foutre sur le dos.

Si on envoit les eaux usées directement dans la Seine ça fout aussi les poissons sur le dos par manque d’O2.

Autant l’incendie de Rouen avec 40% de la masse stockée qui est de l’huile minérale explique son ampleur, pour Achères il me reste un paquet de questions. J’attendrais les résultats de l’analyse de l’INERIS, ce sont des pros difficiles à rouler dans la farine.


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