Mao-Tsé-Toung Mao-Tsé-Toung 19 juin 2019 08:43

Chez nous, en Europe ? l’excommunication

a un passé glorieux qui par son ADN en impose toujours autant : lisez ce qu’en dit encore WIKIPEDIA . et ce malgré le fait que la doxa qui l’anime se dise aujourd’hui laique !
L’excommunication

de l’axe du bien est bien la pire des sentences que l’on puisse prononcer aujourd’hui contre un quidam quelconque qui se la jouerait émancipé... !
La suite :

NO COMMENT ; LISEZ MES FRÈRES CE QUI SUIT & REPENTEZ VOUS... à l’avance, des fois que... (je vous laisse conclure ; l’excommunication

ça ne rigole pas aujourd’hui ; pas plus que cela rigolait hier !)

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... chez nos frères hindous, l’excommunié c’est le hors-caste : le chandâla, cad le PARIA !
... hors-caste

 ; hors de la protection de la Loi (le Dharma) ; cad bien traduit : le HORS LA LOI !
Comme vous pouvez le constater ; ça ne rigole

pas, non plus !

AUSSI MES FRÈRES EN HUMANITÉ REPENTEZ VOUS !

REPENTEZ VOUS !

(s’il en est encore temps)

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Excommunication
(extraits)

@Mao-Tsé-Toung

L’excommunication (du latin ecclésiastique ex-communicare, « mettre hors de la communauté ») est, chez les catholiques, les orthodoxes, les Amish et les Témoins de Jéhovah, une exclusion de la communauté chrétienne et de la communion ecclésiale. Cette sanction, que seul un évêque peut prononcer chez les catholiques et les orthodoxes, et seulement pour de très sérieux motifs, est la plus grave des peines canoniques. Elle exclut la possibilité de recevoir les sacrements et l’exercice de certains actes ecclésiastiques. L’excommunication frappe entre autres les schismatiques et les hérétiques. Lors d’une excommunication cependant l’Église ne se prononce pas sur le « salut éternel » d’une personne. L’excommunié est « remis entre les mains de Dieu ».

C’est la peine canonique la plus ancienne dans le christianisme. Chez les premiers chrétiens, elle consiste en une exclusion de l’assemblée eucharistique : c’est la reprise de la pratique juive de l’exclusion de la synagogue, à laquelle le Nouveau Testament fait allusion en différents passages1. ...

Dans l’Église catholique latine, l’excommunication est une peine pénale appartenant, comme l’interdit et la suspense, à la catégorie des censures ou peines médicinales (par opposition aux peines expiatoires, dites aussi autrefois vindicatives). Comme telle, elle a pour but premier le repentir du coupable et la réparation.

On distingue deux types d’excommunication (can. 1314) :

  • ferendæ sententiæ : excommunication qui ne frappe pas le coupable tant qu’elle n’a pas été intimée par une décision judiciaire ou administrative ;
  • latæ sententiæ : excommunication encourue du fait même de la commission du délit (le droit canonique doit prévoir expressément ces cas).

L’excommunié ne peut plus célébrer et recevoir les sacrements et sacramentaux ni remplir des offices ecclésiastiques, ministères et charges, ni poser des actes de gouvernement (can. 1331). Ces effets sont aggravés quand l’excommunication est notoire, c’est-à-dire qu’elle a fait l’objet d’une décision judiciaire ou administrative dans le cas d’une excommunication ferendæ sententiæ ou d’une déclaration quand elle est latæ sententiæ (can. 1332). Contrairement à la suspense, ces effets sont indivisibles.

Le Code de droit canonique de 1983 prévoit l’excommunication latæ sententiæ pour neuf délits :

(NOTA BENE :

coupé car je dépassais les 10 000 caractères autorisés par Ago)

 L’appartenance à la franc-maçonnerie est également une cause d’excommunication latæ sententiæ, selon la bulle pontificale de Clément XII, In eminenti apostolatus specula.

Dans tous les cas, conformément au droit pénal de l’Église, le délit doit être effectivement imputable à la personne.

CQFD


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