@Mao-Tsé-Toung
Ecrire des conneries, c’est vrai que je pourrai en écrire, je regarde le plus souvent possible des sources fiables ou reconnue avant. Et vous, êtes vous sûr de ne pas en écrire ?
Je suis ici principalement pour entretenir mon français. C’est fou comme l’orthographe et le vocabulaire peuvent s’apauvrir quand on vit dans un autre pays avec une autre langue.
Je fréquente d’autres sites mais les articles sont plus factuels, j’ai la lecture et non l’écriture. Du loufoque, du biaisé voir du faux c’est plus courant ici ce qui me permet d’écrire.

Ah le bistrot, il y en a pas ici. Une utilité public le bistrot, un bon remède pour ce qui s’enferme dans un monde virtuel.
Ecrire des articles ? Sur le calcul des ondes de tempête ? Les risques tsunami sur la cote sud de l’ile ? La corrélation entre la privation relative, l’urbanisation locale, la faiblesse des institutions locales et la délinquance dans le pays ? Pas trop le genre d’articles qui plairaient, je fais dans l’utile ce qui plait rarement sur un site comme ici.
Je n’ai pas d’avis et mes croyances je n’ai pas à les imposer aux autres. Ca limites les envies d’écrire des articles sur agoravox. Il y a academia.edu qui vient de m’envoyer un mail aujourd’hui me disant que mon nom est mentionné dans deux papiers. Je n’ai même pas été voir lesquels. Je fais dans l’utile, pas pour la gloriole.

Pour me défouler le matin il y a les chiens à promener, du huski ça défoule.
Depuis 1978 je ne me suis plus jamais fâché ou énervé, pas trop besoin de me défouler.
J’ai une vie des plus heureuses, une reconnaissance sociale qui pourrait faire des envieux, non franchement je n’ai aucun motif à devoir me défouler.

La critique : démontrer les incohérences, le non sourcé, voir la fasification c’est pour moi comme prévenir une personne (le lecteur) qu’elle va marcher sur une merde de chien.
La critique je ne vois que son coté constructif. Pendant ma carrière professionnel, la vérification externe était obligatoire, c’est une critique qui évite d’écrire ou de faire des conneries. Si l’on a un égo surdimensionné j’admets que la critique ne parait pas constructive.
Je n’ai rien contre vous mon cher Mao, si vous écrivez du non factuel, du fantasmé en faisant croire à la véracité de la chose, vous risquez d’avoir des remarques. C’est l’écrit qui est visé, non la personne.