La seule chose à retenir, c’est qu’il faut se préserver du parasitage. Gauchiste avec cette "convergence des luttes" tolérée voire soutenue par Branco ou droitard avec Soral qui s’érige en modèle de pureté, phare de l’authentique dissidence.
Mention spéciale néanmoins pour le crépuscule de Branco qui a eu le mérite de faire avancer le schmilblick. Quant à Soral, il ne carbure plus qu’au fiel et à l’aigreur, c’est pas beau à voir