crow 26 avril 2019 06:04

L’éveil soudain d’un peuple qui se révolte, cette prise de conscience des masses face à l’insécurité grandissante, générée par nos maîtres tout puissant, influence le hasard synchrone, cette "fumeuse" synchronicité dont Jung faisait référence et qui, comme à l’image de son scarabée, aurait la fâcheuse tendance à rétablir l’ordre dans lequel les choses se dérouleront vraiment/factuellement. Il est donc tout à fait normal je trouve, de s’interroger sur les effets physiques ponctuels que provoquent un tel processus.

Dans le cas précis de Notre-Dame, je constate que la symbolique touchée par les flammes ne se situe pas seulement à l’échelle spirituelle de la religion chrétienne mais beaucoup plus lointaine, à sa base occidentale originelle, les flammes ont aussi touché un symbole ancestral païen, le culte pour le bois et particulièrement le chêne. Petit rappel d’Histoire ?, un gamin de 16 ans nommé Clovis a fait brûler l’arbre sacré des païens (un frêne il me semble) lors de la bataille de Tolbiac et, lors de son baptême à Reims, s’est vu sacré par ces mots : "Courbe la tête, fier Sicambre, adore ce que tu as brûlé et brûles ce que tu adores." ... est-ce un hasard si les dernières souches réfractaires ont brûlé ? ... attendons les résultats de l’enquête ! smiley


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe