Marlène "veut signaler", Marlène "souhaite l’identification"...ses cordes vocales, jumelles de celles de Cécile Duflot, autre figure emblématique de ces "élites", entonnent sans accent vosgien la ritournelle de la délation, de l’intimidation, de la menace...

Marlène s’identifie et se signale elle-même...a t-elle conscience que bomber ses mamelons peut l’exposer à un retour de manivelle.. ? est-ce une greluche juste écervelée ou s’engage t-elle sciemment sur la voie du martyr lorsqu’un jour prochain un Fenwick, ou d’autres engins détournés pour de sombres desseins destructeurs, gravitera dans son périmètre de sécurité.. ? elle pourra ce jour là piailler devant les caméras, de ses sanglots indignés dégoulinera l’écriture d’un destin à la Simone Veil, Marlène huée, Marlène insultée, Marlène martyrisée, parce que c’est une femme etc blabla gnagnagna...

Connasse ! vaines et pathétiques gesticulations d’un "ancien monde" à la dérive qui voit en la répression et la persécution une chaloupe de survie face aux vents mauvais d’un soulèvement inattendu dont la mémoire n’est plus dépourvue de zones d’adhérence...les mots ne sont plus volatiles, ils s’accrochent aux branches d’une conscience que les réacteurs propagandistes des médias aux ordres ne peuvent plus purifier comme avant, même s’il reste des idiots irréductibles et des bulbes inertes...

Ceci dit...l’image de "Brigitte à poil sur un tas de palettes" est semblable à un chewing-gum accroché à une semelle, ou le souvenir diffus d’un cauchemar qui, de bon matin, est annonciateur d’une journée pour le moins pénible avec des flashs qui ne font dresser que les poils...