La mondialisation est inévitable et le mondialisme est une forme de cynisme, mais aussi de fatalisme.
Les partisans conscients du mondialisme accélèrent l’inévitable sans chercher à changer le contenu du système philosophique appliqué mondialement.
Les fatalistes pensent qu’il n’est pas possible d’empêcher cette politique dévastatrice. Ils croient qu’on ne peut que retarder la catastrophe finale.
Même si c’est devenu extrêmement difficile, compte tenu de l’entêtement, depuis un demi-siècle au moins, à nier le problème, il faut pourtant s’attaquer, nationalement et mondialement, à l’économisme et le remplacer par le solidarisme : ce n’est plus l’économie qui doit commander la marche du monde mais la solidarité entre tous ses habitants.
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