alexz 30 décembre 2018 19:19

@sls0
Non pas expert, je faisais des études de risques dont le risque explosion. C’est plutôt les effets d’une explosion sur une structure ou matériau. On m’a fait faire un stage de boute feu d’une semaine en habilitation. Pour les structures j’avais les conbaissances en métallurgie et on employait le code Aster.
>>Sans vouloir vous offenser, le niveau de compétences dont vous vous prévalez, ne me convainc pas sur votre capacité à réfuter l’hypothèse de la démolition contrôlée.

Pour ce qui est de la température de 1000° c’est dans le rapport du NIST.
>>1000°C sur tout le volume de l’immeuble ? ou en quelques points répartis dans quelques étages (<4) ? avant, pendant ou après l’effondrement ?
Quid de l’utilisation de plusieurs types d’explosifs ? /ex : une vague pour mettre à nue des poutres métalliques, une pour les fondre.

Il est à peu près impossible de réfuter la survenue d’un évènement (démolition contrôlée) comme celui là, aussi improbable soit-il.
Tenez, un exemple, pouvez-vous prouver qu’une soucoupe volante ne s’est pas posée dans mon jardin le 3 Mai 1977 ? Vous pouvez certes tenter de me ridiculiser, m’ostraciser (c’est là un peu votre marque de fabrique), mais vous ne prouverez rien.
Par contre venir dans mon jardin, dire que vous n’avez rien vu et que par conséquent il ne s’est rien passé, c’est très facile. 

Vos explications sur les explosifs et le 911 soulèvent plus de question qu’elles ne donnent de réponses.
Si je vous comprends bien, c’est un feu de kérozène localisé à 2 3 étages qui, au bout de quelques heures, subitement, à fait effondrer un gratte-ciel de >100 étages. Si l’immeuble était assez fragile pour que votre scénario se produise, alors que dire si on l’avait aidé avec des explosifs ?
Il est très improbable qu’un immeuble s’effondre sur lui-même (en suivant une verticale parfaite) hors démolition contrôlée.
Comment le feu aurait-il pu se répandre et attaquer la structure de manière aussi homogène ? D’autant que l’impact de l’avion s’est fait en un point sur une face...
Cette homogénéité, la régularité de l’effondrement, sa rapidité sont troublants. Les débris... De la poudre de béton et de l’acier fondu... Qu’il y en ait, soit, mais qu’il y ait quasiment que cela...

Personnellement, je ne défend pas d’hypothèse. Je ne suis pas expert, je me pose juste des questions.
Je pense que pour résoudre une énigme comme celle là, il faut en plus de solides connaissances et d’informations valides, de l’imagination. Il faut parfois s’autoriser à envisager l’improbable voire l’impossible. A charge d’amener les preuves par la suite.
Mais quand on commence le chemin avec zéro imagination, on est sûr de ne pas aller bien loin. Dans ce cas on est bon pour s’abreuver tous les soirs au journal de 20h... C’est un mode de vie. Chacun est libre.
Ce que je défend c’est plutôt l’utilité du travail de reopen911. On peut chercher des poils sur les œufs, c’est d’ailleurs ce que fait Mr Sam (ça a son utilité si c’est bien fait). Il faut quand même reconnaître que le travail de reopen a le potentiel pour faire avancer la connaissance du public sur ce sujet. Là je dis merci :)
 


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