PumTchak PumTchak 26 décembre 2018 22:10

@Zatara

4 exercices/opérations fait en même temps à différents niveaux (public/privé), sans qu’aucune équipe ne soit consciente de ce qu’elle fait à part ceux qui savent comment c’est prévu pour s’articuler le même jour..

Ou bien, plus prosaïquement, les choses sont venues ainsi. Si Oussama n’a pas revendiqué l’attentat (même s’il avait déjà commis 2 fatwas contre le grand satan américain), peut-être est-ce le clan religieux saoudien, financier d’Al Qaïda, qui en a imposé l’organisation, car elle souhaitait marquer les US à la culotte (ou les punir d’un énième coup fourré). Le père d’Oussama, Mohamed, aurait alors averti son partenaire économico-industriel, Georges (avec ou sans dabeuliou) qu’une mauvaise surprise se prépare. L’ambassadeur, Bandar Ben Sultan aurait, de son côté, expliqué à Georges W que si l’on touchait un seul cheveu saoudien aux US, cela se passerait mal, peut-être même pour le pacte de Quincy. GW Bush, un peu coincé, alors en aurait parlé à ses secrétaires d’etat, qui, neocons qu’ils sont, n’attendaient qu’une occasion pour aller détruire l’Irak. Toutes choses rendant l’attentat "inévitable", on utilise les moyens de détection de la CIA, pour savoir que les 2 tours sont concernés, tout en désactivant les moyens de réaction. On laisse les terroristes saoudiens prendre des cours de pilotage sur le territoire. On averti les huiles qu’il faut du choc à venir, certains en profitent pour vendre des actions en bourse, etc...
J’invente un schéma, simplement pour dire que ce sont sans doute les relations obligées des uns et des autres qui ont fini par laisser faire la catastrophe.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe