Simple citoyenne Simple citoyenne 20 décembre 2018 08:28
Non-lieu pour les « châteaux japonais » APRÈS DIX ANNÉES d’instruction, l’affaire des « châteaux japonais » s’est achevée sur un non-lieu. Ce dénouement est d’autant plus inattendu que l’affaire avait revêtu l’apparence, pendant des années, d’un scandale juridico-financier impliquant principalement Kiko Nakahara, fille d’un homme d’affaires japonais, mandatée par son père, PDG de la Nippon Sangyoo (BTP, transport, bars, salles de jeux) qui a acquis une quinzaine de propriétés en Europe, dont sept en France et trois dans les Yvelines (Rosny-sur-Seine, Millemont et Louveciennes), en vue de projets immobiliers . Le délabrement de ces sites, laissés sans entretien, puis les pillages dont ils ont été victimes ont fini par faire grand bruit. Associations et municipalités

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