"On a assisté à un phénomène de repli sur soi dans les médias" dit Fabrice Epelboin.
On a surtout assisté à une destruction délibérée de la radio et de la télévision de service public par les gouvernements successifs du pays, "de gauche" comme de droite, qui étaient chargés de les protéger, les développer, les étendre aux nouveaux moyens de communication et culture rendus possibles par les nouvelles techniques.