Je vous rappelle que toute les victimes ou presque de cet attentat avais le droit d’entrer dans l’une des tour les plus prestigieuses d’une des villes les plus riches d’un des pays les plus riches du monde.
On s’en fout, comme les bergers du meurtre d’un loup dans les Pyrénées. On s’en cogne, comme les maton du meurtre d’un tueur-de-flic en prison. On s’en balance, comme des sionistes parisiens, d’un bain de sang a la frontière d’Israël.