sls0 sls0 28 octobre 2018 14:38

Je me rappelle une histoire de ma jeunesse.

C’est deux pd Georges et Jacques qui se balladent dans la forêt.

Georges : c’est beau la nature.

Jacques : j’ai envie.

Georges : ici, maintenant ?

Jacques : non pas ça, j’ai envie de chier.

Georges : ah, regardes il y a un bosquet et des feuilles qui me paraissent pas mal pour se torcher.

Jacques va derrière le bosquet en deux minutes après.

Jacques : Georges, Georges viens vite c’est grave.

Georges se précipite et demande ce qui se passe.

Jacques : j’ai fait une fausse couche.

Georges : idiot t’as chier sur un crapaud.

Ca fait longtemps que je sais comme plein d’autres que le pd ne sait pas se reproduire. 100%. Les pd c’est 1,1% de la population.

Parmis les couples il y a entre 2 et 5%* des couples qui ont un problème d’infertilité, il y a d’autres méthodes que la GPA qui sont moins chères qui donnent 20.000 naissances par an. L’infertilité est partagée, seule l’infertilité féminine demande en dernier recours la GPA.

Au pif pd ou couples "normaux" sont à peu près à égalité au niveau demande de GPA. Pas étonnant qu’on en voit parmis les demandeurs.

L’impossibilité de faire des enfants entre pd est normale qu’ils en parlent ne pose pas de problème. Dans un couple c’est déjà moins normal, dans certaines régions l’infertilité c’est la grosse tare. En parler même sous nos lattitudes c’est pas toujours facile. Ca ne me parait pas abérrant de voir plus de pd en parler.

Nota : oui j’emploie le mot pd, ça date de mon époque et je n’ai jamais acheté de dictionnaire français/novlangue, n’y voyez pas un rejet de ma part, je ne suis ni pour, ni contre, pour être honnête je m’en fous.

  • oui je sais, 10% consultent ça ne veut pas dire qu’il sont infertiles.

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