@hase
Jeune jouvencelle, j’accuserais 116 ans à la chandeleur, donc à moins que vous n’en ayez 131, ce dont je doute vu votre fougue avec laquelle vous vous exprimez, cette belle véhémence insouciante si caractéristique d’une immaturité bien légitime de vos vertes années, permettez moi donc de vous qualifier de gamine sans aucune volonté humiliante de ma part, bien au contraire, venant d’un ancien tel que moi, ce mot suinte le compliment enrobé d’un désir particulier et résonne comme un hommage vibrant à la jeunesse féconde et sensuelle que vous représentez dans ma vision esthétique que je me fais de vous.

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Ah belle bougresse, je vous mettrais volontiers la fessées sur votre séant ferme et provoquant si il se tenait d’aventure à portée de mes vieilles mains qui ont tant vu, si vous saviez, grâce aux miracles de la médecine moderne, je suis encore vert, si jamais cela vous tente de vous échapper de votre conformisme érotique de bon aloi, je vous conterait mille contines au coin du feu après vous avoir honorée de la façon la plus intime et respectueuse, comme on faisait de mon temps avec les belles filles de ferme qui gambadaient dans les champs telles des hases en rut pour le plus grand plaisir des jouvenceaux que nous étions, connaissez vous le romantisme perdu des tendres baisers dans les écuries entre deux taureaux jumeaux dans le foin fraîchement coupé ?

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Si cela vous tente, je vous communiquerais ultérieurement mon adresse e-mail privée cryptée et secrète, mais je vous prierai instamment de rester discrète, car je suis, malheureusement, encore marié, oui elle tarde à passer l’arme à gauche ma donzelle...

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A bientôt, coquine va !