ilias ben 20 octobre 2018 12:16
A l’entame de mon commentaire, je précise que je ne suis pas du bord politique FI, et que j’ai été parmi les sympathisants du MODEM, et que je suis pour une économie ( sociale, par défaut d’appellation acceptée par tous ) sans des laissés pour compte ( petites gens ou autres ),en endogeinisant leurs besoins et leur part de la richesse nationale ( valeur ajoutée oi surplus ) ; et pour un libéralisme politique à large participation verticale et représentation citoyenne de proximité. C’est clair et net que c’est une machination politique, colorée d’une procédure formaliste.Et cela comme revanche des macroniens, adeptes et sympathisants, sur les positions de la FI et Mélenchon sur l’affaire Benalla, d’autres affaires et sur certains projets de loi. A ce que je pense, c’est pas pour des affaires à qualification de délit pénal, qu’on ressort tout d’un coup, le procédé de la perquisition d’office, et de plus à l’encontre d’un homme politique, chef d’un mouvement FI, député, ancien ministre et candidat Président de la République.Il y’a sûrement anguille sous roche de règlements de compte politiciens de la part de Macron et le mouvement LREM majoritaire dans l’executif, dans l’Assemblée et par sympathisants cooptés ou copinés ou clientélisés, dans les strates de la haute Administration publique et même le parquet, la police et la gendarmerie. C’est gravissime comme dérapage de l’autoritarisme improductif macronien ; et il est du devoir de chaque français d’honneur de dénoncer cet abus intempestif de pouvoir de la part du Pdt Macron et de sa clientèle politique. Le leader de la FI a entièrement raison sur la rocambolesque injuste perquisition. Ces cancres de LREM blottis au parquet et dans les services de sécurite ont sévi outrageusement sur cette affaire, sur signaux de leurs mentors.Lesquels agissent pareillement comme MBS de l’AS, à la différence d’un moindre degré dans l’horreur macabre.

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe