Sur une radio du service public... De pire en pire.
À mettre dans les chroniques de la dégénérescence.
Il n’y a là aucun progrès comme le croient les idiots et les ignorants instruits, mais seulement le signe d’une involution, d’une hypersexualisation de la société, et d’une dégénérescence des mœurs.
On descend, on descend, et la décadence est prégnante, la perversité se développe sous tous ses aspects possibles, et le pire s’en vient.
Et ce genre de choses payé avec l’argent de tous les Français...
Décidément, la majorité des journalistes et des chroniqueurs sont des putes.