tobor tobor 1er septembre 2018 01:00

@Et Hop !
"Parce que les instituteurs laïcs, les éducateurs laïcs et les personnels laïcs de colonies de vacances, les parents ne leur font pas confiance ?"
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Nouveau coupeur de cheveux en quatre, nouveau raccourci !
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Quelle idée étrange de sous-entendre que tout ce qui n’a pas été nié serait validé, que tout ce qui n’a pas été souligné serait sous-entendu, etc.
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N’en ayant personnellement rien à faire de ce que les curés ont ou pas dans leur slip, ceux-ci sont supposés chastes, ça fait partie de leurs attributs. Si un curé commet un abus sexuel, il est d’office deux fois coupable : la première et la plus grave pour l’abus en question, exactement au même titre que n’importe quel entraîneur de foot laïc ou catholique ou prof de théâtre athé ou musulman, ou encore gynécologue raëlien ou israélite, etc. commettant semblable abus. Le curé est également coupable d’avoir brisé son serment de chasteté, d’avoir failli à la chair ou que sais-je, il n’était pas supposé être sexué.
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"On" aura plus naturellement tendance à craindre des dérapages sexuels par ceux/celles qui prônent le sexe libre ou qui sur-sexualisent leurs apparence, interventions et/ou leurs propos même si la garde d’enfants les éloigne ou les coupe complètement de toute sexualité.
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De mon côté, je ne confierais à-priori jamais mes mômes à un curé, ni a des junkies, pour plein de raisons. Et pour ce qui est des autres, laïcs ou croyants en ceci-cela, il faut rencontrer les gens pour tenter de se faire une idée et accorder ou pas sa confiance. Plus que tout, il faut être en dialogue avec sa progéniture et savoir la préparer idéologiquement/psychologhiquement à ne pas tomber dans n’importe quel bateau.
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Les gens dans le socio-culturel et l’enseignement ne sont pas supposés être des pédos, même s’il semble que de nombreux cas existent, l’à-priori ainsi que la majorité des cas, reste que rien de pervers ne s’y passe.


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