Ce que ne dit pas Cohen sur l’étude qu’il cite c’est qu’elle comporte de nombreux biais comme sur l’absence de danger notamment cancérigène, puisque la comparaison entre personnes exposées et non exposées est très compliqué du simple fait que les personnes non exposées n’existent pas vraiment puisque de nombreuses études montrent que l’on retrouve dans la population en générale les mêmes taux de glyphosates que chez les agriculteurs qui l’utilise. Du coup c’est totalement biaisé...