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4 juin 2018 23:06
@La mouche du coche
je cite le commentaire suivant :
Mon ami Didier Long, aussi titulaire
d’un doctorat de physique vient appuyer mes calculs, je le cite : «
Lorsque l’on tombe de trois mètres et que l’on s’accroche à une barre,
située donc trois mètres plus bas que le départ de la chute, l’énergie
doit être encaissée par le travail mécanique exercé par les bras. Si le
dépliement des bras au cours de l’arrêt se fait sur une longueur de 1 m,
les bras doivent supporter quatre fois le poids du corps. Si ce
dépliement se fait sur une longueur de 50 cm, les bras au cours de
l’arrêt de la chute sept fois le poids du corps. Le tout sans que les
mains glissent. C’est un peu ce que font les gymnastes aux barres fixes.
Si la chute est d’une hauteur de 6 mètres, et selon l’amplitude du
dépliement des bras au cours de l’arrêt, 1 mètre ou 0.5 mètre, la force
encaissée par les bras est de 7 fois le poids du corps, ou 13 fois le
poids du corps. » Conclusion : la version officielle est donc
scientifiquement impossible. L’enfant ne peut en aucun cas être tombé
d’une hauteur de 6 m ni de 3 m et s’être rattrapé à la rambarde, c’est
mathématiquement et physiquement impossible, ses bras et ses mains
n’auraient pas survécu à l’impact. Macaron tient donc son Théo. Florence
Vivès. »
vous trouverez facilement auprès d’un physicien (professeur)
ou après une heure de recherche sur internet toutes les formules pour
calculer les vitesses de chutes, la quantité d’énergie cinétique du
corps en mouvement (le petit garçon) à dissiper lors de l’arrêt par
celui ci, etc... et n’oubliez pas de prendre votre pilule rouge. pour
les mougeons, un suppositoire et au lit !
h = 1/2 g t2
La hauteur de chute ne dépend pas ni de la masse, ni de la forme, ni du matériau, mais seulement du temps.
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