François Lenglet "constate", « en appliquant toujours la même méthodologie depuis 30 ans », et son auditoire de boire ses paroles ! Et s’il essayait de raisonner autrement ?
Et si ce qu’il dénonce comme un défaut de ruissellement n’était dû qu’à l’atrophie de notre pyramide sociale, suite à l’augmentation incessante, depuis qu’elle existe, du nombre de ceux qui l’habitent et qui ont pour fonctions premières de consommer et de produire ?
Comme c’est indéniablement le cas, il en a résulté un enrichissement collectif incessant – dépassant de nos jours la démesure – ayant fait que la pyramide sociale se soit développée jusqu’à l’atrophie et continue de le faire ; son sommet s’éloignant toujours plus de sa base, et les inégalités sociales que cet écart exprime s’accroissant inéluctablement d’autant.
L’augmentation
incessante de la population, est actuellement de l’ordre de 280 000
individus chaque jour (cf. estimations de l’ONU et de l’INED), soit
près de 100 millions par an. Ne pas en tenir compte, c’est s’enfermer dans la pensée unique et être sommairement obsédé par une archaïque lutte des classes, au point de se livrer aux pires amalgames, mêlant outil de travail commun,
rémunérations, capital, patrimoine, revenu, etc.
C’est aussi omettre :
- d’une part que pauvres et riches se partagent structurellement et mathématiquement leur richesse commune à raison de 86% pour le premiers et 14% pour les seconds
- d’autres part, que toujours structurellement, les pauvres se multiplient beaucoup plus que les riches. Quand 100 êtres humains naissent, moins de 4 rejoignent les riches, plus de 24 vont vers les classes moyennes et 70 vont grossir les rangs des pauvres.
Pour
plus de précisions, visiter
le blog“Abominable Pyramide sociale” et/ou lire
“Précis de pyramidologie sociale”.
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