En 2010 une fuite a mis en lumière le fait que tous les lieux de rassemblement islamique étaient placés sous surveillance policière.
Des mahométans ont porté plainte, mais en dernière instance, la cour suprême a refusé de déclarer cette surveillance inconstitutionnelle, bien qu’elle ait accordé une petite compensation financière aux plaintifs pour violation de leur vie privée.
Voir aussi ce
lien. Il s’agit d’un journal japonais anglophone.
Pas cons les Japonais.