@wendigo
Les exemples que vous citez n’apportent en rien de l’eau à votre moulin :
-
Lors de l’intervention des Soviétiques en Afghanistan, il s’agissait
essentiellement d’une armée conventionnelle contre une guérilla en
montagne essentiellement (donc non-urbaine) où les armes dont nous parlons n’ont pas été utilisé (car n’existant pas encore). De plus, les ewoks locaux ont bénéficié de l’appui d’une puissance majeure (USA).
- Même chose pour le conflit au Viêtnam : guérilla dans la jungle principalement, pas d’utilisation d’armes robotiques et soutien de la Chine et de L’URSS.
Permettez-moi
de vous dire qu’il faudrait que vous fassiez une mise à jour de vos
connaissances concernant ces armes qu’actuellement très peu d’États (USA, Russie, Israhell) possèdent en unités opérationnelles.
Je vois mal, par exemple, vos ewoks
citadins lutter contre un essaim de nano-robots volants et
capables de leur inoculer une substance pathogène par une simple piqûre
ou à l’aide d’un gaz ; ou d’agir contre des robots-insectes pouvant
utiliser le système de canalisation pour se déplacer en toute liberté. Sans compter l’amélioration considérable de la létalité des armes conventionnelles et des vecteurs (je vois mal vos ewoks abattre des missiles ou empêcher le largage de bombes par des drônes situés en haute altitudes).
Bref, vous ne semblez pas prendre la mesure de l’arsenal dont peut disposer un véritable Dark Vador aujourd’hui (une entité qui ne s’embarrasserait
plus de contraintes "humanistes" dans ses règles d’engagement, qui se
contrefoutrait littéralement des populations civiles, qui ferait sien cet adage : « Tuez-les tous, il y aura bien les mauvais dans le tas ! » pour paraphraser Arnaud Amaury).
La France était pourtant en pointe dans ce domaine (sagem, thalès) mais la ringardise actuelle de nos équipements (sauf pour les drônes d’observation) résulte plus d’un sabotage de son appareil militaire qu’autre chose.
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