Au-delà de la forme de ce
dialogue qui fait penser à un poulailler (qu’on m’accuse de misogynie si on veut mais voilà ) , si j’ai bien compris l’article, c’est
Vanessa Burgraff qui est en faute. Quand on est journaliste et qu’on
affirme des choses à une heure de grande écoute dans l’audiovisuel, il faut être
rigoureusement précis sur les mots et les formulations que l’on emploie.