Henry de Mesquen Henry de Mesquen 29 avril 2017 00:07

Monsieur quitte le navire quand la situation exige qu’un capitaine ferme et d’expérience soit à la manoeuvre et qu’il impose son cap. Ce capitaine, c’est moi. Et ce cap, c’est le national-libéralisme que je prône.

Le seul apte à diriger ce pays est mon auguste personne. Ni Mélenchon le rouge dont le programme de naturalisations parachèverait le grand remplacement, ni Marine dont le programme crypto-communiste de gauche n’a rien à envier à celui du susnommé. Et aussi parce que je ne veux pas que de la musique non caucasoïde soit entonnée chaque soir à l’Elysée et que cela devienne une vulgaire boite de nuit. J’ai des principes.
 
S’il veut bien me concéder l’usufruit d’un bien immobilier à Saint Cloud par exemple, je réfléchirais alors à lui céder une place dans mon prochain gouvernement national. Puisqu’il parle d’immigration de peuplement, nous le ferons "ministre du dépeuplement et de la réémigration". Oui, en bon français, l’on dit réémigration et non remigration, incultes de non-versaillais que vous êtes.

Sur ce je vous laisse, je dois aller au colloque de l’assurance vie qui se tient porte de Versailles. Une priorité en chasse l’autre.

Henry de Mesquen.

 


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