@jean mouche
"ça risque de puer la beuh !"

Vous avez eu des soucis avec des Flowers people ? 

Je pense qu’il ne faut pas généraliser cette présentation "beuh" qui finalement ne correspond pas toujours à la réalité d’une jeunesse qui est bien souvent très lucide sur la réalité du monde professionnel "en bourse" et qui possède bien souvent une culture générale supérieure à ce qu’elle ne laisse paraitre. Et en particulier, celle qui sème dans les champs est à saluer !

D’ailleurs, voici un site que les ruraux apprécient particulièrement où les échanges solidaires sont prégnants et structurent de nouvelles vocations au sein d’une agriculture extensive... (n’oublions pas non plus, le parcours du combattant auxquels un nombre important de jeunes agriculteurs doivent gérer au sein de leurs installations agricoles...)

https://www.wwoof.fr/

"Donnez leur plutôt des tickets pour acheter de la bouffe produite en France, en échange ils devront trier les poubelles, tailler les haies au sécateur, construire des nichoirs pour la faune, faire des comptages d’insectes, inventorier les sites pollués..."

En ce qui concerne le chômage au sein de l’UE et de la libre concurrence :

L’a.3 du TUE définit le marché intérieur qui est un espace de libre échange de capitaux, de personnes et de services, sans frontière où la concurrence est libre et non faussée.

L’a.63 du TUE interdit toute restriction aux mouvements de capitaux. (ex avec les usines d’Arcelor Mittal de Florange et Gandrage délocalisées en Pologne.)

Etre dans cet espace de libre concurrence sociale et fiscale, c’est également perdre nos capacités d’autonomie et nos forces de production pour une majorité de français....confrontés à la misère en chaine..

Alors oui, de nouvelles formes d’emplois rémunérés sont à (re)créer et il sera bien plus facile de réorganiser un marché éthique de coopérations professionnelles une fois sorti de l’UE.

Pour vous :

https://www.youtube.com/watch?v=JA1jmLZbFJ8

Bonne soirée