raoul-henri 31 janvier 2017 18:19

Pour les criminels de sang le rapport est inverse à la précarité monétaire mais en découle puisqu’il faut des pauvres pour faire des riches. Parce que c’est lorsqu’un individu a les moyens de payer un assassin très cher (avec le sang froid du serpent) que le meurtre devient le plus probable. Ah mais j’oubliais que l’orateur ne veut pas parler de la délinquance en cols blanc sans doute pour ne surtout pas parler de l’origine du mal et du vol primal.

Le meurtre est parallèlement issu d’une guerre économique entre rivaux des places de marchés. Encore une histoire de fric.

Reste le meurtre passionnel mis en épingle systématiquement pour cacher la forêt derrière l’arbre.

Pour la rapine et le petit trafic je maintiens que la pénurie monétaire (organisée par les mêmes qui perpétuent les meurtres parmi lesquels il convient d’inclure les meurtres de masse tels la guerre et le génocide) est à l’origine de la délinquance qui galopera de plus en plus à mesure que la pauvreté grandit. Il n’y qu’à comparer les graphiques pour s’en convaincre.

Pour l’origine sociologique du viol la question n’est pas tranchée mais pour moi elle se rapporte davantage à la violence psychologique et morale induite par la violence physique. Ce genre de crime est la plupart du temps du à l’ignorance et à une absence d’éducation sexuelle et confessionnelle ; absence que l’on pourrait aussi rattacher à la misère sociale.


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