ALT57 19 janvier 2017 03:13

@lancelot

Pas forcément un souverainisme, je suis plutôt pour une Europe fraternelle et surtout efficace et forte.

Seulement nous y avons des représentants en dessous de tout. Et une constitution trop favorable au capital et pas assez cadrée, trop de liberté aux dirigeants qui ne dirigent qu’eux, prélèvent ce dont ils ont besoin et expédient le reste à coup de pied sans oublier les petits chef zélateurs qui font des crises d’autorité , à leur niveau certes mais qui produisent de l’obstruction dans un système déjà pâteux et mal utilisé.

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Perso, j’aurais tout de même préféré, pour commencer, une confédération, peut-être moins efficace face au monde extérieur, mais quand on voit la larve que l’Europe est encore, on peut hésiter dans le choix , non ?  Et puis 27, c’est trop.

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On peut très bien bousculer l’Europe, monter le ton et les dents.

Cette grosse mémère, impotente, sourde ,aveugle, acariâtre et déjà sclérosée, seulement mue par son portefeuille et celui qui y préside avec cette cohorte de pages grassement payés.

 

Qu’est ce qu’on risque ?

l’exclusion d’un bateau qui coule ?

Ou gagner d’obliger Bruxelles cette fois à remettre en question tout ce qui coince et surtout qui ne se fait pas ?

Hé bien, il faut faire ça !

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l’Europe a besoin d’un électrochoc violent qui la mette vraiment en danger, qu’elle sorte de cette léthargie qu’on vire tous ces "vers" installés dans le fromage , ces "non élus" qui venant d’on ne sait où, pilotent décident de tout, surtout de ce qu’ils ne devraient pas, décrètent, tyrannisent, imposent leur dictat, sans contrôle, ni sanction, pour finalement ne rien faire de ce qu’ils devrait, qui serait de leur ressort.

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Il faut profiter de ce que Trump met dans l’expectative l’Europe, la clivant un peu plus avec  l’UK emboiter le pas de  Merkel qui est dans la perspective de réactions pour que le couple Franco-germanique se ressaisisses pour faire front et mettre de l’ordre dans la maison Europe. Il est grand temps de reprendre le collier en ordre de bataille sur un cap commun défini.

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Pardonnez-moi, mais là aussi je n’en vois qu’un qui a déjà compris et pris les devants pour faire ce que Sarko n’a pas fait ou voulu faire.

   


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