egos 1er septembre 2016 23:16

La parenthèse pourrait se réduire aux quelques décennies d’après-guerre quand l’abondance était avant tte autre chose celle d’un avenir chargé d’espoirs dont chacun se sentait porteur et libre d’en définir la nature.

Une société juste, équilibrée , équidistante du communisme autoritaire et du cynisme us, 
balançant son humeur entre Jazz, R&B, Bolchoï, M. Béjart, G.Balanchine ...
Et puis ns voila plongés de plein pied au centre de notre futur immédiat, qui se dérobe à chaque mesure,
là ou la parole politique (et les nôtres) telle une parenthèse se referme sur un espace minuscule ... 

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