enzo 24 août 2016 01:03

@Hijack ...

 « Le Coran apparaît comme une compilation de traditions et de mythes païens arabes, zoroastriens, perses, juifs, chrétiens iconoclastes et apocryphes  » (Ibn Warraq, "Pourquoi je ne suis pas musulman")


«  Le Coran est une rhapsodie interminable et incohérente de fables, de préceptes et de déclamations, qui éveille rarement un sentiment ou une idée, qui se vautre parfois dans la fange et qui se perd quelque fois dans les nuées  », (Gibbon, "Decline and Fall of the roman Empire", London, 1941)


« Les plus importantes étapes de l’histoire de l’Islam furent caractérisées par l’assimilation d’influences étrangères (…) Mahomet, son fondateur, ne proclamait pas d’idée nouvelle. Il n’enrichissait pas les conceptions antérieures sur les relations entre l’homme et le transcendantal ou l’infini (…) Le message du prophète arabe fut une composition éclectique d’idées religieuses et de règles. Ces idées lui furent inspirées par des contacts avec des juifs, des chrétiens, et d’autres encore qui l’avaient profondément impressionné », (Ignaz Goldziher, "Introduction to Islamic Theology and Law", Princeton, 1981) 


 « L’Islam n’est pas une invention mais une concoction, rien n’y est neuf si ce n’est le génie de Mahomet qui mélange de vieux ingrédients pour en faire une nouvelle panacée aux maux de l’humanité et qui l’impose à la pointe de l’épée », (Zwemer, "Islam : a challenge of faith", New York, 1905)


 « [Le Coran] est un ramassis de confusions, de contradictions et d’incohérences », (Burton, "The collection of the Quran", Cambridge, 1977)


 «  Parmi les religions, l’islam doit être comparé au bolchevisme plutôt qu’au christianisme ou au bouddhisme. Le christianisme et le bouddhisme sont avant tout des religions personnelles, avec des doctrines mystiques et un amour de la contemplation. L’islam et le bolchevisme ont une finalité pratique, sociale, matérielle dont le seul but est d’étendre leur domination sur le monde. » Sir Bertrand Russell, scientifique et philosophe pacifiste, Prix Nobel 1950


 « Le Coran manque de plan d’ensemble, il est fréquemment obscur et inconséquent à la fois dans la langue et dans son contenu, superficiel dans la liaison d’éléments disparates et sujet à la répétition de passages entiers dans des versions différentes. Sur ces bases, il peut vraisemblablement être soutenu que le Coran est le produit de l’édition tardive et imparfaite de matériaux provenant d’une pluralité de traditions » (Cook et Crone, "Hagarism : The making of the muslim world", Cambridge, 1977)

 


« Nous relevons à partir de l’arrivée du prophète à Médine un altération rapide et marquée du système qu’il avait inculquée. L’intolérance prit la place de la liberté, la force celle de la persuasion. Les armes spirituelles, destinées initialement à des fins plus élevées, ne furent pas plus tôt attachées au service de l’autorité temporelle (…) . Le nom de Tout-Puissant donnait une force terrible à l’épée de l’Etat et l’épée du pouvoir en retour détruisait volontiers les ennemis de Dieu et les sacrifiait à l’autel de la nouvelle religion. Tuez les incroyants partout où vous les trouverez, tel est désormais le mot d’ordre de l’Islam…  » ( Muir, "The Life of Muhammad", Edimbourg, 1923) 


 «  Pour les historiens, les Arabes ne sont pas plus les descendants d’Ismaël, le fils d’Abraham, que les Français ne le sont de Francus, le fils d’Hector.  » (Rodinson, "Les Arabes", Paris, 1991)


«  Il peut y avoir des musulmans modérés, mais l’Islam par lui-même n’est pas modéré. » (Talisma Nasreen)

 

« Je suis un peu islamophobe, ça ne me gêne pas de le dire. J’ai le droit, je pense (et je ne suis pas le seul dans ce pays), à penser que l’Islam, (je dis bien « Islam », je ne parle même pas des islamistes) en tant que religion, apporte une certaine débilité qui en effet me rend islamophobe. Il n’y a aucune raison, sous le prétexte de la tolérance, de s’abaisser jusqu’à renier des convictions profondes. » Claude Imbert, rédacteur en chef du journal Le Point, (24 octobre 2003, sur LCI


  « La religion la plus con, c’est quand même l’islam  ». Michel Houellebecq, écrivain

 

« Quand vous êtes un converti [à l’islam] vous devenez transparent, culturellement vide » (Le Monde, 17 juillet 1998) 

« Aucune colonisation n’est allée aussi profond que celle de l’islam et des Arabes [...] Les populations colonisées se voient dépouillées de toute vie intellectuelle ; il y a une "hystérie musulmane", une "tyrannie" de l’islam.  » (Notre civilisation universelle, Le Débat, Paris, n° 68, p. 86) V.S.Naipaul, prix Nobel indien de littérature

 «  Depuis plus de 500 ans, les règles et les théories d’un vieux Sheikh arabe, et les interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, la coupe de ses vêtements, ce qu’il apprend à l’école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu’à ses pensées les plus intimes. L’Islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies.  » Mustapha Kemal, dit Atatürk, fondateur de la Turquie moderne et laïc.

 

 « Le fondamentalisme musulman est en train de devenir la principale menace pour la paix mondiale... c’est comparable à la menace constituée par le nazisme et le fascisme dans les années 30, et par le communisme dans les années 50.  » Clare Hollingworth

 

 « Le problème séminal pour l’Occident, ce n’est pas le fondamentalisme islamique. C’est l’Islam » Samuel Huntigdon, écrivain, dans Le Choc des civilisation



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