Mélenchon, bateleur saltimbanque.
En fait posticheur, de talent mais qui ne veut pas du pouvoir.
Il est à sa place là où il est et il sait très bien qu’il ne
ferait pas mieux que les autres pour ce pays beaucoup trop important, rebelle
et frondeur (dans la Sud), car il n’a pas plus d’envergure qu’eux et surtout il
serait "grillé " et donc ne pourrait plus briller, sur la photo, ce qui est sa vie, en
critiquant ceux au pouvoir, droite ou gauche, qui pataugent dans le bouillon de
ce milieu infecte de profiteurs, inaptes à gérer l’intendance, ne sachant pas
quoi faire, Mais quand même voulant tout régenter, taxent sans peur, l’outil gagneur pour dépenser inconsidérément, souvent
inutilement l’agent que nous n’avons pas, à qui il ne faut pas parler
d’économies judicieuses, ni d’argent d’ailleurs trop dégradant, se contentant d’imposer des règlements, ouvrir les
dossiers changer les étiquettes pour des "roses" avec un nom exotique, refermer le
dossier, le pointer "vu" et le replacer sur l’étagère. Alourdissant les
normes UE (quand ils devraient se battre pour le contraire), dépouillant là où c’est facile, pour donner à ceux qui crient le
plus fort, et s’ils descendent dans la rue ils auront des lois dédiées.
Mélenchon analyse tout ça, le dépeint avec sa gouaille et assene ce qu’il faut faire en maniant aphorismes et métaphores.
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