joeblow 23 avril 2016 19:02

@Qaspard Delanuit
Si on m’avait demandé d’organiser le 11 septembre en vendant une histoire d’avions, j’aurais fait passer un avion à basse altitude de manière a ce que plusieurs témoins voient un avion. J’imagine que ces salopards doivent avoir quelques bon joueurs d’échec dans leurs rangs.

Maintenant, que les avions percutent les wtc, tous les paramètre prouvent le contraire : mauvaises trucages d’ images numériques, lois de la physique, mauvais réacteur d’avion retrouvé dans les rue, faux témoignages, vitesse des avions impossible à 200m d’altitude, avions absents des plan de vol de la journée etc...

Voilà un texte très intéressant de Gerard Holgrem qui résume bien les choix qu’ont dû faire les conspirateurs.

"Pourquoi ils n’ont pas utilisé d’avion." Un article publié en 2005

(publié le 27 mai 2010)
Pour illustrer le travail pénétrant et logique de l’esprit de Gerard Holmgren, voici-après la traduction en français de son intervention, antérieure à la fin 2005, [attesté à cette adresse par archive.org depuis novembre 2005] sur la logique des terroristes assassins qui ont préparé, organisé et exécuté les attentats.

Ce texte touche un point hautement sensible de l’état d’esprit du milieu de la contestation du 11 septembre : le refus obtus de l’élite dominante de ce milieu contestataire d’accepter d’envisager la possibilité qu’aucun gros avion à réaction n’ai été employé dans les quatre crash du 11 septembre, alors que c’est cette hypothèse elle-même, à laquelle ils s’accrochent avec tant d’énergie contre toutes évidences (les images, les témoignages, les débris...), l’emploi de gros avions à réaction, qui ancre dans l’esprit du grand public et des médias dominants, l’histoire des quatre avions détournés par 19 kamikazes arabes armés de couteaux de poche et de cutters, qu’ils prétendent pourtant combattre.

Depuis 2005, année de rédaction de ce texte fulgurant, la contestation dominante qui n’a pas compris cela, tourne en rond. En effet, si gros avions il y a eu et qu’il n’y avait pas les 19 kamikazes à bord, il faut, pour envisager les attentats, imaginer un tel réseau de complicité que les esprits raisonnables écartent toute idée de complot. Alors que sans gros avion, l’organisation, l’exécution et l’effacement des indices des attentats devient tout de suite nettement plus simple à envisager. On peut enfin concevoir que ces attentats aient réellement pu se produire sans les kamikazes et leurs cutters, avec une équipe pas plus importante que, par exemple, 19 kamikazes et les complices qu’on leur prête !

Adresse de l’article en anglais (titre original : Why they didn’t use planes) :
911closeup.com (également page d’accueil pour d’autres articles de Holmgren)

Pourquoi ils n’ont pas utilisé d’avion.

Par Gerard Holmgren
2005

Parfois, les gens me posent la question "pourquoi auraient-ils utilisé des missiles ou autre au risque de se faire prendre ? S’ils étaient décidés à vendre une histoire d’avions, pourquoi donc ne pas la rendre la plus crédible possible en utilisant de vrais avions ?"

La question est idiote, parce-que devant l’accumulation de preuves qu’effectivement ils n’ont pas utilisé d’avions (dont surtout l’infime quantité de témoignages allant dans ce sens), spéculer sur leur pensée et leur plans n’a aucun sens.

Mais enfin, puisque nous vivons dans une époque particulièrement idiote, je vais y répondre quand-même.

Mettez-vous dans la peau des criminels, des terroristes. Vous devez penser à tout ce qui pourrait aller de travers dans tous les cas de figures possibles de déroulement de vos scénarios, et ensuite choisir celui qui présente le minimum de risques.

Vous avez décidé de vendre une histoire d’avions détournés.

Au premier niveau de décision, vous avez deux choix.

1) utiliser de vrais avions.

2) utiliser des missiles ou d’autres engins exotiques, et convaincre les gens que c’étaient des avions.

Penchons nous d’abord sur le deuxième scénario. Vous avez les médias avec vous pour raconter l’histoire. Qu’est-ce qui pourrait alors aller de travers ?

1) des témoins pourraient voir qu’il n’y avait pas eu d’avion et ils pourraient le raconter.

Et bien, c’est précisément ce qui s’est passé, mais c’est comme si personne ne s’en était aperçu. Le mythe des "milliers de témoins" d’une frappe par une gros avion continue à être répété dans une parfaite logique circulaire. "Étant donné qu’il y avait bien de gros avions à réaction, c’est donc que les gens doivent bien les avoir vu - et puisque les gens les ont vu, cela prouve qu’il y en avait."

Il est clair que les terroristes criminels ont bien pensé à minimiser le problème des rapports contradictoires de témoins, et qu’ils ont prévu pour cela un plan simple et efficace.

Le problème est facile à minimiser. La première frappe survient. Étant donné que l’objet est petit, rapide et imprévu, personne n’est vraiment sûr ce ce que c’était, ni vraiment sûr d’avoir bien vu. Quelques témoignages sont diffusés qui parlent de missiles ou de petits avions ou même de l’absence de tout objet aérien, mais ils ne disposent que d’une fenêtre de 18 minutes avant que la terre entière ne voit le gros avion à réaction en direct à la télévision - créé avec un simple procédé d’animation en temps réel basé sur des technologies du commerce. Ça a pour effet de dissuader les médias de chercher à interviewer de nombreux témoins de la deuxième frappe, étant donné que tout le monde a son attention obnubilée par le film que repasse en boucle à la télé. Les quelques témoins qui accèderaient à un temps de passage devant les médias, perdent alors confiance dans ce qu’ils ont vu, étant donné que, cette fois encore, l’objet était petit, rapide et inattendu. En regardant la rediffusion télévisée - qui a été immédiatement disponible - ils pourraient alors penser qu’ils n’ont tout simplement pas bien vu. Le peu qui reste ferme dans sa conviction que ce n’était pas un gros avion est facilement réduit au silence et noyé par les rediffusions sans fin. De plus, les compagnies aériennes publient un communiqué qui déclare qu’elles ont perdu deux gros avions, et tous les témoignages contradictoires sont *immédiatement* - à l’instant même de la deuxième frappe - marginalisés quasiment jusqu’à l’oubli.

Ceci n’est pas une spéculation. Lisez les retranscriptions de ce qui a été diffusé en direct entre environ 8h47 et 9h30 et vous verrez que c’est *exactement* ce qui s’est passé. À partir de l’instant de la deuxième frappe, dés que quelqu’un essayait de dire que ce n’était pas un gros avion, on lui repassait le film de la télévision.

Le peu de témoignages qui auront pu être rassemblés dans le faible intervalle de temps séparant les deux frappes n’a pas suffit à provoquer de réels dégâts, et tous ceux qui ont pu parler après ont eu leur témoignage dévoyé par le fait que, dés qu’ils ouvraient la bouche, on leur repassait immédiatement le film du deuxième avion à réaction tel qu’il avait été diffusé à la télévision.

Dans le court intervalle de temps entre les deux frappes, un seul témoin a parlé de gros avion à réaction - et il se trouve que c’était justement le vice-président de CNN, qui, bien sûr, est directement impliqué dans l’opération – au même titre que le gouvernement.

Nous pouvons donc voir que le problème des témoins contraires, une gêne évidente mais mineure, est facilement contourné grâce à une bonne planification.

Encore une fois, ceci n’est nullement de la spéculation. L’exécution réussi de ce plan a été testé dans le monde réel – et ça marche. Le scénario que j’ai décrit correspond exactement aux événements tels qu’ils ont été enregistrés.


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