sls0 sls0 23 janvier 2016 23:05

Si j’ai quelques connaissances en glissements de terrains, coté avalanches je suis très limite.
Les 30° de la pente du campement considéré comme limite coté avalanche je les ai pris pour argent comptant.
Ma curiosité m’a fait regarder plus précisément.
Il peut y avoir des départs en dessous de 30°, aux USA où le climat est continental comme en Russie, c’est 25° qui est pris en compte. La plupart des départs c’est vers 38°, mais du 22° s’est vu. 
Comme il y a beaucoup de variables et que l’on ne connait pas les conditions lors des faits, on ne peut rien dire mais c’est un paramètre à prendre en compte.

Ce qui m’a fait tilter lors de la lecture des différents articles et que je ne connaissais pas, ceux qui connaissent parlent d’un ’’wouf’’ annonçant un départ d’avalanche.
Si sous la tente, une personne ayant la connaissance de ce ’’wouf’’ et qu’il l’entend, il y a de grandes chance qu’ils aient giclé de la tente même dans la nuit, c’est du moins ce que j’aurais fait.
Un deuxième paramètre à prendre en compte.

En science on dit souvent que le plus simple est souvent le plus vraisemblable.
Il est aussi plus facile à relier à du connu que de l’inconnu.
Sans être parfaitement connues, les avalanches ont été plus le sujet d’étude que les boules oranges volantes.

La prochaine fois que je lâcherai des montgolfières de nuit avec les gosses du quartier, j’essaierai l’essence térébenthine comme combustible, coté couleur ça devrait se faire.
Je doit être à portée des AWACS qui patrouillent du coté de la Floride, deux mètres de papier alu sous les montgolfières devraient les interpeler.

Ne vous inquiétez pas je ne suis pas le seul, personnellement en janvier 1959, j’étais trop jeune est pas en Sibérie.( le plus simple est souvent le plus vraisemblable)
 


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