medialter medialter 1er décembre 2015 14:31

"La corruption est consubstantielle au fonctionnement de la classe dominante ; cette corruption est le résultat de fait entre les différentes composantes du pouvoir (...) Il n’y a pas la loi et le droit, il y a leur loi et leur droit"
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Oui oui oui oui ... On le sait, toujours les mêmes redites et les mêmes constats qui enfoncent les portes ouvertes. C’est pas parce que ça sera répété 1000 fois que ça changera le problème, les 80% de zombies qui composent la population resteront zombies parce que le pouvoir merdiatique est infiniment plus puissant que la micro-information alternative qui nécessite recherches et efforts de pensée.
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« Si tout ça s’écroule, ce qui va arriver, est-ce que vous pouvez vous imaginer la crise, ce qui va arriver de nos économies, de notre monde et de notre humanité ?  »

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Une fin en queue de poisson, comme dans la plupart des analyses à la Chouard ou à la Drac, qui commencent correctement et finissent en jus de chique en raisons de recherches incomplètes et de gros résidus de naïveté. Cette réflexion montre toute la pitoyabilité de l’esprit plébéien des administrés qui servent de torchon de plancher à la finance internationale mais qui ne s’inquiètent que de leurs misérables clopinettes qu’ils ont laborieusement économisées.

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Il n’y aura pas d’effondrement parce que cette crise, qui n’en est pas une, est savamment orchestrée depuis la création de la dette (et ceux qui sont vraiment informés savant que c’est en fait depuis bien avant). Les évènements "terroristes" récents, qui en sont la continuité, et qui vont servir aux états à imposer une gestion militaire et totalitaire de la chose publique, tout en faisant croire aux simples d’esprits à un choc de civilisations (double bénéfice), vont clouer le bec aux populations et les amener à se tromper de méchants. Ces événements "terroristes", qui vont se poursuivre à travers le monde, vont se substituer par une planification hautement réfléchie à l’effondrement tant attendu par de nombreuses analyses trop succinctes, et vont donner aux élites, par un consentement de masse, une puissance encore jamais atteinte. Quant à la misère, elle aura droit à quelques menus aménagements, suffisamment pour que sa mort lente ne soit pas trop visible, mais suffisamment peu pour que les miséreux se battent entre eux pour gratter les miettes qui leur seront balancées (qui seront certainement baptisées "générosité du système").


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