Baston Labaffe Gaston Lagaffe 14 septembre 2015 23:05

Merci Frida pour le partage, un regret néanmoins, cette série en 2 levels si j’ai bien compris, n’est pas exhaustive et saute des pans entiers de l’histoire du jeu vidéo mais aussi et surtout de la micro informatique qui a rendu cet art si populaire jusque dans les foyers, pour lobotomiser un maximum de gens à la manière d’Halloween 3 si j’en crois les commentaires ci-dessus, afin d’infecter un maximum de cerveaux, de paralyser un maximum de potentiel cérébral humain prometteur (c’était pas des couillons du bulbe qui étaient les premiers geeks, c’était pas les sportifs et autres frimeurs belâtres des lycées qui couraient les filles plutôt que les pixels, qui s’adonnaient à ce genre de loisir nouveau, porte sur le virtuel, porte sur le cybernétique actuel, c’était ceux et plus rare, celles, qui ne pouvaient pas baiser, s’éclater entre potes, se sentir bien en société à laquelle ils ou elles se sentaient étrangers, parce que rejetés, parce que jugés trop bizarres qui se sont rués pour combler leurs lacunes sociales, sexuelles et autres frustrations psychologiques diverses sur les mondes virtuels interactifs à contrario des autres arts qui font appel à l’imaginaire, comme l’écrit, le cinéma, la bd, les dessins animés, la musique, l’art grapgique, la peinture etc... Les jeux vidéos sont une synthèse de différents arts précités.
.
Mais QUID du Commodore 64 ? Qui du THomson ? Quid de l’Alice ? Autant de noms qui auraient mérité d’être cités, surtout la gamme commodore précédant l’ère Amiga.

Car c’est toute ma jeunesse putain le commodore 64 bordel, pourquoi ils ont zappé commodore et son histoire bordel ? Quand on fait une émission prétendant retracer l’histoire du jeu vidéo t’oublies pas le commodore 64 putain c’est quoi cette arnaque ????
.
Heureux néanmoins d’avoir revu Philippe Ulrich un ponte et un pionnier, un passioné talentueux auquel je dois à la fois d’avoir perdu du temps de vie réel au profit du virtuel sur ses créations magiques et d’avoir échappé à la dépression adolescente en m’immergeant dans ses univers interactifs. Ainsi que des noms familiers de l’époque du magasine TILT, merci pour ce voyage en nostalgie, Frida.
.
Mais, même avec Läurènt Dèùtchkzwz en narration, cette trop courte série accuse de graves lacunes impardonnables... Le C64, putain, même pas cité, suis dégoûté et je pars bouder....


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe