@concombres
La mobilité du pauvre est voulu, aujourd’hui, par le "riche", Ils (les riches) la réclament avec fermeté depuis plusieurs décennies.
Les puissants du XXI siecle ne sont pas ceux du XIXeme,et cela vaut pour les prolétaire. Ne pas le comprendre a fait disparaître le socialisme de la pensée populaire.
Quand à la frontière, quand elle n’est pas qu’une simple barrière à bestiaux, emmerde au plus haut point le riche.